Forts de notre histoire, nous faisons nôtres ces mots prononcés lors de l’inauguration du Collège en 1954:
« On formera ici non seulement des intelligences, mais des cœurs. »
– Cardinal Paul-Émile Léger en 1954
Résolument tourné vers l’avenir, le Collège Jean-Eudes se fait un devoir de baser chaque décision sur les valeurs de ses bâtisseurs. Nous sommes fiers de notre petite école de Rosemont devenue une des grandes écoles du Québec.
2019
signature du pacte de l'école québécoise
Le Collège a fait un premier pas significatif en faveur de l’environnement, du développement durable et de la lutte aux changements climatiques en signant le Pacte de l’école québécoise le 30 avril 2019.
2014
la création des cours virtuels
Pour une première fois, différents cours complets sont offerts en ligne à tous les élèves du Québec.
2012
l’innovation technologique, une première au Québec
Le Collège fait le saut vers l’éducation de demain et annonce un virage technopédagogique sans précédent : tous les enseignants et les 1 700 élèves travailleront avec la tablette numérique iPad.
2009
une grande première
Le conseil d’administration confie à une femme, Mme Nancy Desbiens, la direction du Collège.
2007
inauguration du nouveau Pavillon des arts et des sports
Cet agrandissement permettra dorénavant d’accueillir plus de 1 700 élèves.
2003
un moment charnière de l’évolution de l’institution
M. Louis Laliberté, nouveau directeur général, se consacre à la formulation du projet éducatif.
1999
un changement au niveau de la direction
M. Paul Boisvenu succède au père Voisine.
1990
le changement de nom du Collège
À la mémoire de Jean Eudes, fondateur de la communauté des Pères Eudistes, l’institution devient le Collège Jean-Eudes.
1988
un nouveau chantier
La construction de l’Agora, de la Salle Jean-Eudes et des locaux spécialisés permet de bonifier considérablement l’offre de service du Collège.
1985
la relève institutionnelle
Une nouvelle corporation mixte composée de laïcs et de Pères Eudistes voit le jour.
1980
une nouvelle ère
Le père Voisine amorce l’intégration des technologies auprès des enseignants et des élèves.
1972
l’arrivée d’un grand bâtisseur
Le père Origène Voisine prend la tête de l’institution (1972-1999).
1970
le déménagement de la communauté
Vu le nombre croissant d’élèves, la maison d’enseignement est maintenant à la disposition des professeurs et des élèves.
1968
l’année des grands changements
Le Collège des Eudistes offre uniquement le cours secondaire et ouvre ses portes aux filles.
1960
la création d’un comité de parents
Plus de 150 parents assistent à la première rencontre pour s’impliquer davantage dans l’œuvre du Collège.
1954
la bénédiction du Collège
Les locaux de la grande école de Rosemont sont maintenant occupés et le 9 octobre, le cardinal Paul-Émile Léger procède à la bénédiction du Collège.
1953
la fondation du Collège
La bénédiction du terrain et la première pelletée de terre ont lieu le 15 juin et en août suivant, le père Maurice Boivin est nommé premier supérieur.
1952
le futur collège classique
La communauté des Eudistes se voit confier le projet.
1951
le rêve d’un homme
Abbé Gérard Cornellier souhaite une maison d’enseignement pour les jeunes de Rosemont.
« UNE ÉCOLE INSPIRÉE PAR LE MEILLEUR DE SA TRADITION ÉDUCATIVE ET CHRÉTIENNE »
ARMOIRIES
Les armoiries servent à désigner ce que représente une institution. Chaque ornement, figure et couleur est choisi en fonction des valeurs véhiculées par celle-ci. Une devise accompagne généralement les armoiries afin d’unifier les personnes fréquentant ladite institution.
Au Collège, la devise choisie par les Pères Eudistes, fondateurs de notre Collège, est aussi celle de Saint Pie-X, patron du Collège Jean-Eudes : INSTAURARE OMNIA IN CHRISTO. C’est une phrase en latin qui signifie «Réunir l’univers entier sous un seul chef, le Christ».
Les armoiries furent créées sur un bouclier qui représente un champ d’azur. Ce dernier signifie la fidélité et la persévérance. Ceci correspond bien aux aspirations des fondateurs du Collège envers les élèves. Autrement dit, malgré les difficultés (les flots agités), les élèves doivent toujours fixer leur regard sur l’idéal rêvé (l’étoile), en ayant soin de ne jamais laisser l’espérance s’amenuiser avec les années (l’ancre).
Le tiers supérieur de l’écu, qui est de couleur rouge, symbolise le désir de servir sa patrie, ce qui signifie aussi la grandeur, l’audace et la vaillance. Le chef est chargé de deux roses. Elles ont été tirées du blason du cardinal Léger pour en garder le souvenir, car c’est le cardinal Léger qui a demandé avec insistance aux Pères Eudistes la fondation du Collège. Le chef est aussi chargé d’un mont. Ce dernier symbolise Montréal, où a été fondé le Collège.
Les armoiries du Collège se décrivent ainsi selon le vocabulaire héraldique:
« D’AZUR À L’ANCRE D’OR À DEUX BRANCHES INCLINÉES À SENESTRE ET ÉMERGEANT DE FLOTS AGITÉS. ANCRE ACCOMPAGNÉE D’UNE ÉTOILE À CINQ RAIES D’ARGENT, AU LIEU D’HONNEUR. AU CHEF DE GUEULES CHARGÉ D’UN MONT D’ARGENT ACCOSTÉ DE DEUX ROSES D’OR. UN LISTEL D’OR PORTANT LA DEVISE EN LETTRES GOTHIQUES DE SABLE CONSTITUE LES ORNEMENTS EXTÉRIEURS. »
Écu : Bouclier
Champ : Surface de l’écu
D’azur : couleur bleue en héraldique
Chef : Tiers supérieur de l’écu
Gueules : Couleur rouge en héraldique
Listel : Banderole sur laquelle s’inscrit la devise
Sable : Couleur noire en héraldique